Isabelle, mère de famille
Voilà presque 9 mois que je me suis engagée à Aimer & Servir. Lors de la soirée à laquelle j’ai participé, l’intuition de cette mission m’a touchée très directement. Dans une période particulièrement douloureuse, j’ai moi-même fait l’expérience de la présence d’un proche qui m’a soutenu et a été présent pour moi.C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j’ai pris mon départ.
J’étais en même temps assez inquiète. Je n’avais aucune idée de qui j’allais aimer et servir. Je me demandais si je trouverais le temps, si je tiendrais dans la durée. Comme l’impression de faire un pas dans le vide… Le Seigneur m’appelait vraiment à lui faire davantage confiance !
Au lendemain de cette soirée, j’ai commencé à prier pour la personne que le Seigneur me demanderait d’accompagner. Au bout de 5 semaines, j’ai compris qu’il s’agissait d’une jeune fille que je fréquentais déjà. Sonia, lycéenne, habitante d’un quartier défavorisé. J’ai donc prié pour elle chaque jour et pris régulièrement de ses nouvelles. J’ai eu l’occasion de lui témoigner de ma Foi. Je lui ai rendu quelques services mais pas encore suffisamment.
Au cours de ces 9 mois, je me suis souvent dit : « je n’en fais pas assez, je n’y arrive pas… »
Et c’est ce que je trouve formidable dans cette mission : Elle m’a fait et continue de me faire progresser !
Avant, je pratiquais la compassion « à la carte », en fonction des occasions qui se présentaient et des gens que je rencontrais. Il s’agissait d’actions isolées, casées dans les rares vides de mon emploi du temps. Mais la plupart du temps, je n’en avais pas vraiment le souci. Je n’avais pas compris que la compassion ça coûte !
Depuis mon départ en mission, la compassion n’est plus un concept abstrait. Pour moi, Sonia est devenue le visage de ceux qui souffrent et que Jésus nous appelle à aimer et servir à sa suite. J’ai encore bien du chemin à faire et je sais que c’est par l’engagement que j’ai pris face à Jésus (et que je compte bien renouveler !), que me viendront les ressources nécessaires.
J’ai été touchée par cette phrase de Mère Térésa : « Ce que nous faisons est à peine une goutte d’eau dans l’océan, mais si nous ne le faisions pas, il manquerait cette goutte d’eau ». Seigneur, tu connais mes limites. Donne-moi de continuer à apporter ma gouttelette dans l’océan par l’amour et le service de celui qui souffre !
Voilà presque 9 mois que je me suis engagée à Aimer & Servir. Lors de la soirée à laquelle j’ai participé, l’intuition de cette mission m’a touchée très directement. Dans une période particulièrement douloureuse, j’ai moi-même fait l’expérience de la présence d’un proche qui m’a soutenu et a été présent pour moi.C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j’ai pris mon départ.
J’étais en même temps assez inquiète. Je n’avais aucune idée de qui j’allais aimer et servir. Je me demandais si je trouverais le temps, si je tiendrais dans la durée. Comme l’impression de faire un pas dans le vide… Le Seigneur m’appelait vraiment à lui faire davantage confiance !
Au lendemain de cette soirée, j’ai commencé à prier pour la personne que le Seigneur me demanderait d’accompagner. Au bout de 5 semaines, j’ai compris qu’il s’agissait d’une jeune fille que je fréquentais déjà. Sonia, lycéenne, habitante d’un quartier défavorisé. J’ai donc prié pour elle chaque jour et pris régulièrement de ses nouvelles. J’ai eu l’occasion de lui témoigner de ma Foi. Je lui ai rendu quelques services mais pas encore suffisamment.
Au cours de ces 9 mois, je me suis souvent dit : « je n’en fais pas assez, je n’y arrive pas… »
Et c’est ce que je trouve formidable dans cette mission : Elle m’a fait et continue de me faire progresser !
Avant, je pratiquais la compassion « à la carte », en fonction des occasions qui se présentaient et des gens que je rencontrais. Il s’agissait d’actions isolées, casées dans les rares vides de mon emploi du temps. Mais la plupart du temps, je n’en avais pas vraiment le souci. Je n’avais pas compris que la compassion ça coûte !
Depuis mon départ en mission, la compassion n’est plus un concept abstrait. Pour moi, Sonia est devenue le visage de ceux qui souffrent et que Jésus nous appelle à aimer et servir à sa suite. J’ai encore bien du chemin à faire et je sais que c’est par l’engagement que j’ai pris face à Jésus (et que je compte bien renouveler !), que me viendront les ressources nécessaires.
J’ai été touchée par cette phrase de Mère Térésa : « Ce que nous faisons est à peine une goutte d’eau dans l’océan, mais si nous ne le faisions pas, il manquerait cette goutte d’eau ». Seigneur, tu connais mes limites. Donne-moi de continuer à apporter ma gouttelette dans l’océan par l’amour et le service de celui qui souffre !